FEB 24, 2015 | CANADA
Un rapport établit un lien étroit entre les logiciels non autorisés et les programmes malveillants
Les organisations peuvent accroître leur cybersécurité en éliminant les logiciels sans autorisation de leur réseau
CANADA — le 24 février 2015 — Un nouveau rapport commandé par la BSA | The Software Alliance confirme le lien entre l’utilisation des logiciels sans autorisation et la présence de programmes malveillants sur les ordinateurs personnels. Au terme d’une analyse, le cabinet de recherche mondial IDC a constaté que le nombre d’ordinateurs portatifs d’un même pays infestés de maliciels augmentait proportionnellement à la présence de logiciels sans autorisation. La marche à suivre pour les gouvernements, les entreprises et les utilisateurs finaux est claire : éliminer les logiciels sans autorisation de leur réseau pour limiter leurs risques de cybersécurité.
« Les infections par des maliciels peuvent avoir des conséquences désastreuses et les entreprises canadiennes cherchent désespérément à se protéger du mieux qu’elles peuvent, affirme Jodie Kelley, avocate générale et première vice-présidente à la BSA. En démontrant l’existence d’un lien entre l’utilisation de logiciels sans autorisation et la présence de maliciels, cette analyse prouve qu’une bonne gestion des logiciels est une première étape essentielle à la diminution des risques en matière de cybersécurité. »
L’analyse statistique a comparé les taux de logiciels sans autorisation installés sur les ordinateurs portatifs dans 81 pays , tout en comptabilisant le nombre de programmes malveillants détectés sur les ordinateurs portatifs suivis par Microsoft , société membre de la BSA. Elle a établi une forte corrélation positive (r = 0,79) entre le nombre de logiciels sans autorisation et celui de problèmes liés à des programmes malveillants. Une analyse approfondie a montré que le nombre de logiciels sans autorisation dans un pays était un très bon indicateur de la présence de programmes malveillants dans ce dernier.
Le rapport s’appuie sur une étude phare de la BSA sur le nombre global de logiciels sans autorisation utilisés dans le monde entier. En 2014, l’enquête mondiale de la BSA sur les logiciels a indiqué que les logiciels sans autorisation représentaient 25 % des logiciels installés au Canada au cours de l’année écoulée, comparativement à 43 % à l’échelle mondiale. Elle a également déterminé que la principale raison pour laquelle les utilisateurs du monde entier n’utilisaient pas de logiciels sans autorisation était d’écarter les menaces attribuables aux maliciels. En outre, 64 % des utilisateurs ont signalé comme appréhension numéro un, parmi les risques liés aux logiciels sans autorisation, l’accès non autorisé des pirates informatiques, et 59 %, la perte de données.
La BSA encourage les organisations à mettre en place des contrôles internes, comme des pratiques de gestion des biens logiciels (GBL) conformes aux normes ISO, pour s’assurer que tous les logiciels installés sur leurs systèmes sont sous autorisation et ainsi limiter leur exposition aux cybermenaces.
Communiquez avec la BSA à nopiracy.ca si vous souhaitez participer à l’élimination de cybermenaces potentielles. Le signalement de toute distribution ou copie illicite de logiciels y est anonyme. La politique stricte de la BSA assure la confidentialité de tous vos renseignements personnels.
Vous pouvez télécharger le rapport intégral Unlicensed Software and Cybersecurity Threats sur le site Web de la BSA à bsa.org/malware.
ÜBER BSA
BSA | The Software Alliance (www.bsa.org) ist die globale Stimme der Software-Industrie gegenüber Politik und Wirtschaft. Die Mitglieder der BSA gehören zu den innovativsten Unternehmen weltweit und erarbeiten neue Software-Lösungen, die die Wirtschaft antreiben und das moderne Leben von heute prägen.
Die BSA mit Hauptsitz in Washington, D.C., und Niederlassungen in über 30 Ländern weltweit leistet Pionierarbeit in der Schaffung von Programmen zur Einhaltung und Durchsetzung geistiger Eigentumsrechte und der Einführung von Richtlinien, auf deren Basis technologische Innovationen und die digitale Wirtschaft gefördert werden.